Dans un communiqué relayé par le journal « Al Massae », M. El Yamani a estimé que les chiffres dramatiques se rapportant aux pertes continuent d’augmenter, sans compter les pertes économiques, sociales et financières subies par le Maroc en raison de la perturbation du raffinage du pétrole dans la raffinerie.
Et au cas où cette société de raffinage ne reprendrait pas ses activités le plus tôt possible, le Maroc et les créanciers des secteurs public et privé notamment, perdront plus de 45 milliards dirhams de dettes, sans compter les jugements à l’encontre de la Douane et de l’Office des changes de change en matière délictuelle.